• Randi, peux-tu commencer par te présenter ?

« J’ai 23 ans, j’arrive en prêt en provenance de Troyes. J’ai débuté le football à l’âge de 8 ans dans le club de l’ASF Fontaine d’Ouche, près de Dijon. Petit, je faisais également du karaté, mon père était international, mais il a fallu faire un choix. J’ai ensuite rejoint le DFCO, le club principal de la ville pendant trois ans. Entre temps j’ai intégré le pôle espoirs de Dijon, avant de rejoindre le centre de formation de Troyes, car il n’y en avait pas à Dijon  à l’époque. J’ai fait toute ma formation à l’ESTAC jusqu’à signer pro en 2016. La première saison, j’ai joué une dizaine de matchs avec Troyes, puis j’ai été prêté à Béziers la saison dernière avant de revenir à l’ESTAC cette année et d’être prêté à Dunkerque. »

• Quelle image avais-tu du club de Dunkerque avant d’arriver ?

« J’avais déjà entendu parler du club puisque j’aurais pu me retrouver en prêt ici à plusieurs reprises. Du coup, je m’étais renseigné un peu et je savais que c’était un club structuré, dont on parle beaucoup, qui revient souvent lorsqu’on parle du championnat de National. Lorsque j’étais à Béziers, je n’ai pas eu l’occasion d’être dans le groupe pour affronter Dunkerque, mais j’ai suivi les deux matchs et j’avais remarqué que Dunkerque était une équipe qui jouait bien, qu’il y avait un nouveau stade en construction et une pelouse de qualité. J’avais une bonne image du club ! »

• Connaissais-tu du monde hormis le coach Claude Robin ?

« Le foot reste un petit monde, donc j’ai déjà croisé quelques joueurs comme Baba Toure lorsqu’il jouait à Sedan et contre qui j’ai joué. J’avais aussi aperçu Jérémy Huysman et aussi Dorian (Salhi) puisque je connais bien son grand frère. »

Retrouvez la suite de l’interview dans l’USLD Mag de vendredi !