Descendu de Ligue 2, le club cristolien a connu un exercice 2016-2017 délicat, n’actant son maintien que lors du sprint final. Cette saison, si l’effectif a de nouveau été largement remanié, l’US Créteil Lusitanos aspire à retrouver le haut de tableau.

Date de création : 1936

Stade : Stade Dominique Duvauchelle (12 050 places),

Entraîneur : Stéphane Le Mignan

Président : Armand Lopes

Couleurs : Bleu

Logo : 

Joueurs à suivre :

• Oumar Pouye : Un porte bonheur à Créteil ? C’est en tout cas ce que le club laisse entendre sur son site Internet rappelant qu’Omar Pouye a déjà connu six montées dans sa carrière, la dernière en date avec Quevilly Rouen ! L’expérimenté milieu de terrain sera à n’en pas douter un atout important pour le club cristolien.
• Grégory Gendrey : Autre recrue d’expérience dans les rangs de l’USCL, Grégory Gendrey est arrivé en provenance de Chamby cet été. Rompu aux joutes du National et auteur de dix buts la saison dernière, il vient compléter un milieu de terrain déjà conséquent.

Le mot du coach : « Le club a subi une relégation il y a un an, ce qui avait déjà orchestré beaucoup de changements. Cette année encore, beaucoup de modifications ont été opérées car la saison a été délicate. Il a fallu repenser l’effectif, ce qui n’est pas forcément positif en termes de stabilité. On n’a pas encore remporté de match en préparation et on a du faire face aux blessures de joueurs majeurs, mais il y a eu des choses intéressantes dans le contenu. A nous de nous adapter et de travailler pour être prêt pour la reprise. Les objectifs du club sont évidemment de retrouver une spirale positive et de faire partie des équipes du haut de classement. Mais entre la volonté, les discours et ce qui se passe sur le terrain, il y a parfois un décalage ! »

Son top 3 :

« C’est difficile de dessiner une hiérarchie dans le championnat de National par rapport à la Ligue 1 et la Ligue 2 ! Les équipes qui ont bien fonctionné l’an dernier comme Consolat, Chambly, Dunkerque ou Lyon Duchère auront une carte à jouer, tous comme les équipes qui redescendent et veulent repartir de l’avant. Il y a aussi des promus intéressants et puis nous qui aimerions nous mêler au haut de tableau. En tout, une douzaine d’équipes peuvent prétendre à jouer la montée ! Ça fait beaucoup de prétendants. »